Lundi 7 février 1 07 /02 /Fév 13:35

Quelques jours après notre première partie de chasse, je reçus quelques heures avant que nous reçevions un ami à dîner ce mail:

 

"Chère toi,

Ce soir, à l'arrivée de notre invité, tu porteras un robe noire, longue, avec bas, porte jarretelle, string voyant (ne me déçois pas), haut noir, décolleté, avec un redresse mamelles (tu me soumettras cette tenue avant son arrivée).
Ton maquillage sera léger, naturel (ajoute une touche de couleur à tes lèvres d'apprentie suceuse).
Tu porteras tes lunettes.
Je veux te voir offerte lorsque je te l'ordonnerais (tu mettras en évidence alors tes dessous).

Quelque soit mon ordre, aucune question; chaque hésitation sera punie.

Tu vas commencer à apprendre la bonne manière de me servir à cette occasion, et te soumettre comme la bonne petite salope que je veux faire de toi.
Apprendre à toujours être attentive au moindre de mes désirs, surveiller mon bon vouloir et te dévouer à mon bon plaisir sera ton exercice; nous aviserons des corrections à y apporter au terme de cette soirée.

Surveille ton attitude, que tu auras sensuelle, et soumise (même si la portée de ce mot dépasse encore ta compréhension).

Ton hôte."

 

Partie 1

Je portais finalement, la robe dont je disposais étant trop longue et n'offrant que peu de facilités, une jupe noire, jeu de transparence et de longueurs, un chemisier/blouse rouge,  un redresse-mamelles noir également, un porte-jaretelles rouge, des bas noirs et un string, rouge également.

 

1

Pierre, appelons-le ainsi, arriva vers 20h.
Mon Maître avait préalablement inspecté ma tenue. Moment troublant parmi tant d'autres. Le voir décider de ce que je porte, décider du niveau de provocation de la tenue. Etre inspectée, comme une bête de foire. Palpée, jaugée, complimentée.

Pierre, qui a sensiblement nos âges est un drôle de type, très bon dans son boulot auquel il consacre un temps fou. Un ami charmant, parfaitement bien élevé, divorcé depuis l'année dernière, à la vie sentimentale et sexuelle à peu près aussi plate qu'une émission de Benjamin Castaldi, de ce qu'il nous
en raconte et que nous croyons volontiers. Ce qui expliquerait en partie les centaines d'images et vidéos pornographiques retrouvées sur un disque dur qu'il nous avait confié.

Conformément au souhait de mon Maître je me suis assise sur le canapé en face de Pierre. Mon Maître était à mes côtés. J'ai fait le service, apéritif, me suis levée, assise, ai croisé les jambes fort haut, remonté distraitement ma jupe, je sentais la chaleur de la cheminée sur ma peau à peine dénudée, Pierre ne pouvait pas ne pas voir.
Mon Maître se levait parfois, me faisant face dans le dos de Pierre, m'intimant l'ordre de croiser ou décroiser les jambes. De les ouvrir un peu plus. Ce fut un plaisir servile que de lui obéir. D'écarter les cuisses un peu plus encore. de me faire reprendre dans l'intimité de l'entrée parce que mes seins ne pointaient pas assez à travers l'étoffe pourtant très légère de mon vêtement. De devoir enlever mon string. De défaire, sur un simple geste de sa part le dernier bouton de ma blouse. Je me penchais, m'asseyais en relevant ma jupe plus haut que la lisière de mes bas, laissant voir les jarretelles rouges.

Je me retenais d'aller aux toilettes, n'allumais pas spontanément de cigarette.
Nous avions eu la conversation avant l'arrivée de notre hôte, aucune initiative je ne devais prendre, sinon celle de servir ces messieurs durant la soirée.
Aussi je demandais à mon Maître "Pourriez-vous m'offrir une cigarette s'il vous plaît", au prétexte de ne pas avoir à me pencher (dans la mesure où nous entretenons une relation amicale/sociale avec Pierre, pas question de formuler quelque chose qui ressemblerait à "m'autorisez-vous Maître à fumer une cigarette"), et me retenais-je d'aller faire pipi, ayant encore en mémoire mon échec à uriner devant mon Maître quelques jours plus tôt, faute d'être allée me soulager peu de temps avant.

Chemin faisant la soirée s'étira, à sa toute fin j'étais assise contre mon Maître, celui-ci me caressait un sein, lequel s'était peu de temps avant trouvé parfaitement dénudé.

 

3-copie-1.jpg

Pierre resta stoïque, me regardant dans les yeux strictement.

Mon Maître une fois qu'il fut parti me félicita néanmoins d'avoir bien obéi.

Partie 2

Nous avons continué à discuter, nous faisant face, lui à la place qu'occupait précédemment notre ami, moi toujours sur le canapé, reproduisant à sa demande les jeux de jambes auxquels je m'étais livré. Il fut convenu que Pierre n'était pas un client facile, et que pour préserver notre lien avec lui il avait été judicieux de ne pas pousser le jeu plus loin, et en faire notre victime.

Mon Maître me demanda d'enlever ma blouse, et d'écarter largement les cuisses, offrant ainsi mon intimité à sa vue.
Nous parlâmes un certain temps d'obéissance, d'exhibition, de choses et d'autres, avant qu'il ne me fasse enlever ma jupe et m'autorise à aller remplir le lave-vaisselle. J'avais pris soin de ne rien mettre dedans,
contrairement à mes habitudes (aussitôt débarrassé, aussitôt à laver), afin de pouvoir le faire sous le regard de mon Maître dans la tenue qu'il jugerait adéquate. Je lui suggérais la possibilité d'enfiler ma tenue de soubrette, il déclina, me disant que ce serait l'objet d'une séance spéciale, que depuis j'attends avec une certaine impatience.
Je remplis donc le lave-vaisselle en bas et porte-jaretelles.

J'ai, de l'importance d'écrire régulièrement, perdu le fil exact du déroulé de notre soirée.
Mon Maître saurait peut-être le retrouver et j'aimerais savoir qu'il pourrait me le remettre en mémoire, mais je me souviens néanmoins....

M'être faite rabrouer pour ne pas le sucer comme il le demandait. Comme il le demandait et non pas comme je le fais avec je crois un certain talent depuis plusieurs années. Je l'ai donc longuement sucé, à genoux devant le canapé.
Appliquée à tenter de le satisfaire.

Enfonçant sa queue jusqu'à la garde au fond de ma gorge, plutôt que jouant avec ma langue autour de son gland.
Et puis j'ai eu envie de pisser et j'ai demandé l'autorisation d'aller satisfaire ce besoin.
Après une brève réflexion mon Maître m'a dit d'aller chercher une bassine.
Revenue avec il m'a intimé l'ordre de me mettre accroupie au dessus du réceptacle. De reprendre ma fellation. Et d'uriner quand je voudrais. Dont acte.

Le bruit du liquide qui s'écoule, l'odeur qui en émane, l'indécence de la situation, l'abandon total d'amour-propre, la satisfaction dans son regard...
Ses doigts se sont glissés sur ma chatte béante, trempée d'excitation et d'urine, y ont glissé avant de plonger dans ma bouche.


"Tu es ma chienne, ma jolie petite chienne, qui pisse à mes pieds..."

Oui, et j'aime ça Maître.

Par devenirsa.erog.fr - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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