Parties de chasse

Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 21:05

Qui revient souvent au cours, à la fin, de nos parties de chasse.

De Marseille à Istanbul en passant par Bruxelles, quelques épisodes à noter...

 

Sur la terrasse encore

 

 

A Bruxelles ou après la petite séance exhib une partie de chasse théma martinet s'est déroulée. J'aime le martinet, celui-ci et ses lanières douces, où les coups doivent être portés avec force pour être cuisants un tant soit peu.

C'est là que le délai entre la séance et l'écriture devient un problème. Je ne me souviens plus du détail de la dite séance.

Je me souviens seulemnt qu'elle s'est achevée dans les toilettes. Moi assise dessus, finissant par me soulager sous le regard attentif de mon Maître.

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Puis lui, deversant son urine sur moi copieusement.

 

A Istanbul ce fut une thématique de la première partie de la soirée.

Plusieurs heures durant, de l'apéritif à ce que nous rentrions après le dîner et une promenade, mon Maître m'avait interdit d'aller aux toilettes. En rentrant dans notre chambre je me changeai avant une séance uro/photo sur le toit de l'hôtel. Il faisait un froid de gueux. Ma robe en dentelle et ma doudoune sur le dos, c'est contre un mur que je m'accroupis afin de pisser là où il me l'avait ordonné. J'étais on ne peut plus sa chienne à ce moment.

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L'uro est dans l'imaginaire collectif parmi ce qu'il y a de plus humiliant, intime, tabou, réprouvé... Pour autant, ou justement pour ces raisons, c'est également pour moi, pour lui, pour nous, quelque chose comme la récompense ultime d'une excitation bien menée, physique comme à Bruxelles, ou intellectuelle à Istanbul, ou si rien de tactile ne s'était encore produit, la conversation avait un long moment au cours de la soirée rôdé du côté du bdsm.

Est-ce que ça a trait à l'humiliation de mon point de vue ? Je ne sais pas, je ne crois pas. A la soumission dans toute sa splendeur, au don de soi ? Oui.

Plus tard lorsque nous eûmes regagné notre chambre et pimenté nos ébats sur le théma maison-close, que nombre de photos eurent été faites,

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c'est à nouveau dans la douche que mon Maître m'envoya. Je l'attendais à 4 pattes dans la cabine et il prit son temps pour arriver et avec un vible plaisir diriger son jet d'urine sur moi, mon visage, mes seins, avant que je ne prenne l'initiative de me tourner, lui  présentant mon cul, ce dont il me félicita chaleureusement.

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Le sexe sans tabous
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Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 14:40

 

Il y a eu, dans le désordre...

 

Bruxelles.

Bruxelles sous la pluie, en doudoune et jupe droite, talons et bas, sans culotte.

Une première soirée où nous avons dîné à une adresse que je ne peux que recommander, et que par ailleurs je cite volontiers, le nom du restaurant est assez à propos, Le Switch.

Mon décolleté était plongeant, un peu plus encore en fin de soirée à la demande de mon Maître, rien qui n'outrepasse les limites de la pudeur, mais somme toute assez évocateur.

Le chemin du retour vers l'hôtel nous fit passer par la galerie de la Reine, et quelques clichés furent pris de moi la jupe remontée, la chemise largement ouverte.

Nous prîmes ensuite un verre à une terrasse juste avant sa fermeture. J'ai ouvert les jambes, écarté les cuisses, autant que possible, ce qui a impliqué que je relève ma jupe, mon voisin de derrière en léger contrehaut a-t-il su en profiter...?

C'est ensuite au bar de l'hôtel que nous nous sommes installés, autant dire dans le hall. Nous y étions seuls à l'exception du personnel de la réception et du barman, quelques clients ont fait leur check-in mais là encore, je ne suis pas sûre qu'ils aient profité du spectacle.

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J'ai néanmoins fini les cuisses largement ouvertes, offerte à la vue de mon Maître en un lieu public, sous le regard sinon d'une personne physique, au moins d'un système de surveillance vidéo.

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Plus tard dans la chambre c'est nue et masquée que mon Maître me postera à la fenêtre, que ponctuellement il ouvrira, ce qui au premier étage d'une rue relativement passante multiplie le possible d'un regard perdu.

 

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Ce qui me reste, imprécises sensations, c'est ce plaisir dans le déplaisir de la contrainte à offrir ma chair dans ce qu'elle a d'intime et d'érotique aux regards.

La lutte du rationnel et de l'éducation contre la relativité.

Qu'est-ce que j'en ai à foutre de montrer mes seins à un inconnu, ou plutôt qu'un inconnu me surprenne les seins à l'air ? Rien.

Vais-je finir au commissariat pour avoir trop écarté les cuisses à une terrasse ? Non, assez peu probablement.

A contrario, trouvé-je excitant de pouvoir être vue par une tierce personne ou 12 dans un contexte qui n'est pas a priori propice à cette vision ? Oui.

Pour autant, il y a une réticence à obéir, enfin non, pas une réticence. Une appréhension. Alors que je sais la pertinence et le bon sens de mon Maître. Qu'il ne me demanderait pas quelque chose qui mettrait en péril ma réputation, mon honneur ma vertu ou que sais-je.

C'est là que le poids de l'éducation prend son sens.

 

 

Il y a aussi eu Marseille, quelques temps avant.

Marseille où, sensiblement dans la même tenue, nous avons entrepris une promenade sur le vieux port à minuit passé... Une longue séance d'embrassade sur le banc en pierre qui court à l'extrémité du dit vieux port... Les mains de mon Maître autant que les miennes qui s'égarent et cherchent à agacer, à exciter... Ce type d'un certain âge qui traîne, ce n'est pas bien clair, un coup il nous suit un coup il nous fuit, je porte un body en dentelle sous ma chemise, pas de soutien-gorge, mon Maître me caresse les seins, je le branle...

 

Là déjà le regret qu'il n'y ait pas de spectateur. Même si en soi, le simple fait qu'il puisse y en avoir un suffit à exciter l'imagination. Et multiplier le plaisir.

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 10:20

Une longue conversation nous avait amenés, il était question de règles, de punitions, de calcul-risque, à hésiter entre l'emploi de Maître et Monsieur en ponctuation de mes phrase.

Mon Maître décida donc que ce soir, cette nuit, il était déjà pas loin de 2h du matin, je l'appelerai Monsieur.

Qu'à chaque manquement ou prise d'initiative, la sanction serait de 10 coups de cravache.

Que lorsque je lui apporterai quelque chose, j'attendrai qu'il me renvoie avant de reprendre ma place.

 

"Va me chercher l'appareil photo. Tu me le donneras à genoux".

Je montais donc en nuisette transparente et bas chercher l'objet.

Redescendais, m'agenouillais avant de le tendre à mon Maître.

 

Renvoyée sur mon siège, il me tendit un feutre.

"Ecris sur toi 3 sensations physiques, et 3 sentiments"

Brûlure, frisson, étirement, incertitude, attente, offrande

"Tu as maintenant 4 flèches à ta disposition, dispose-les sur ton corps, là où tu voudrais les voir s'appliquer"

L'intérieur de mes cuisses et mes seins.

"4 ronds maintenant, destinés aux endroits que tu ne veux pas voir touchés"

L'intérieur des bras, et les pieds.

 

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"Maintenant lève toi, et va te mettre dos au mur"

"Regarde devant toi"

Mon Maître prend quelques photos.

S'approche de moi.

"Relève ta nuisette. Ecarte les cuisses"

Bien vite il enfonce dans mon sexe un vibro réaliste, et le met en marche.

"Débrouille-toi pour qu'il ne tombe pas"

Photos.

Mon Maître me pose une question, à laquelle en lieu et place d'un lapidaire oui ou non monsieur je réponds en développant, et hors-sujet.

"Penses-tu mériter une punition pour ta réponse ?

- Oui Monsieur"

Il dépose entre mes dents la cravache.

Je la garderai jusqu'au bout de la séance.

 

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Même lorsqu'un peu plus tard il m'aura fait me plier sur la table. Et qu'il enfilera ses doigts dans ma chatte trempée et largement ouverte. Me branlant jusqu'aux limites de l'orgasme.

Avant de clore la séance.

 

Laquelle ne fut pas la plus hardcore d'un strict point de vue sexuel, loin s'en faut.

En revanche nous avons fait un pas de plus dans l'établissement et l'obéissance.

Ce (re)cadrage me coûte, intellectuellement.

Cela dit il est stimulant, et me semble être un bon guide sur le chemin de mon éducation.

Je me plais à savoir ma personnalité réduite à un rôle d'objet de plaisir.

C'est quand l'esprit à lâché prise et que je ne me suis plus vue que comme un corps livré à son plaisir que j'ai réellement laissé place au mien.

N'ayant plus de cesse que de tendre mon cul et ma vulve vers les caresses de mon Maître.

 

Le cadre me permet d'envisager en dehors d'un simple fantasme certaines situations. C'est d'une éducation dont il s'agit. Le cadre du "dîner à thème" au cours duquel je serais en tenue de soubrette, silencieuse et au service de mon Maître et son invité, privée de la moindre initiative et corvéable à merci, d'un point de vue ancillaire comme sexuel, est en passe de devenir une vraie envie. Mais le chemin est encore long petit scarabée, comme le fut la suite de notre nuit...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : L'art de s'offrir
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 11:47

Nous arrivons dans un très joli restaurant, immeuble et ambiance art déco, personnel exclusivement masculin entre 40 et 50 ans, discret, efficace et courtois, ayant néanmoins remarqué au premier passage à proximité de notre table que mes jambes croisées sont gainées de bas.

La table derrière nous est à distance raisonnable mais s'exprime sur un ton de bibliothèque, d'autres, éparpillés dans la salle discutent à bâtons rompus, et nous nous lançons sur le mode du vouvoiement dans de longues conversations tant sur le bdsm que sur la qualité des mets et du vin (un Pic St Loup 2003 délectable).

Le vouvoiement à ceci d'amusant qu'il intrigue notoirement les gens qui entendent des bribes de notre conversation. Nous avons visiblement une intimité, nous sommes clairement un couple (marié qui plus est, mais nos alliances somme toute pourraient être les témoins d'une autre union), et nous nous vouvoyons. Systématiquement l'oreille de nos voisins semble traîner vers nous.

J'aperçois l'homme et je le vois légèrement rougir. Sa compagne me tourne le dos, mais par un jeu de miroirs, je sais qu'elle m'aperçoit.

Plus tard dans la soirée mon mari, nous ne sommes pas en contexte jeu, déboutonnera un bouton supplémentaire de ma chemise, offrant au voisin un décolleté explicite.

Quelques minutes ensuite, s'interrogeant sur ce qu'il en serait si j'en défaisais encore un je défais. Je ne porte rien qu'un redresse-seins en dessous, le spectacle est à la limite de la décence, essentiellement vu du dessus, ce qui est mon point de vue.

Un bouton remis, nous gagnons le casino local à pied pour y boire une coupe. La faune est sans intérêt, l'endroit également, chose faite nous regagnons l'hôtel, je m'arrêterai juste un instant au pied d'un escalier pour rattacher une jaretelle récalcitrante.

A l'hôtel le barman nous sert une première coupe de champagne que nous prenons dans le salon, nous discutons de tout et rien, avant de monter avec une seconde coupe dans notre chambre.

 

Comment ai-je fini pénétrée et par un vibro réaliste et par mon mari ? Comment me suis je retrouvée à cheval sur le bidet à pisser en branlant mon Maître ? Quels furent les chemins empruntés, je ne me souviens plus vraiment... Je me revois juste fumant une cigarette à la fenêtre, son sperme coulant le long de mes cuisses...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : FANTASMES DE COUPLE
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 10:46

Nous arrivons dans cet antre au classique surrané, accueillis par une réceptionniste vaguement gauche qui nous précède dans l'escalier et nous installons dans notre vaste chambre aux deux lits, et aux fenêtres donnant sur des jardins.

"Déshabille-toi"

J'enlève ma jupe et ma chemise, restant en bas et bottes.

"A la fenêtre"

Ma pudeur à beau ne pas risquer grand chose (malheureusement... ?), la sensation est troublante. Je suis l'objet de mon Maître.

C'est une fenêtre ancienne, aux montants froids, à la poignée basse et ronde.

"Tourne-toi"

"Branle-toi sur la poignée".

Je m'exécute, animal cherchant son plaisir sur un objet inanimé et nullement à cette fin destiné.

Mon Maître s'assied sur un des lits.

"Viens me sucer".

J'entame une fellation, que je pense à la fois appliquée et gourmande "Mieux que ça, et regarde-moi". Je le suce et avale son sexe jusqu'au haut le coeur. Il m'encourage, positivement  "C'est mieux", ou par une légère moquerie "Je suis sûr que tu peux faire mieux que ça, une bonne chienne comme toi"

."A genoux"

J'y resterai un long moment, dans un coin de la chambre, dos à une des fenêtres.

 

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Et y enchaînerai les erreurs. Prises de parole non autorisée, oubli (de mon enthousiasme à m'exprimer, j'en oublie malgré ma position mon rang) de finir mes phrases par "Maître", changement (subtil mais néanmoins changement) de position...

 

"Allonge-toi sur le lit sur le dos".

Je prends place tandis qu'une musique s'élève du rez-de-chaussée. "Très Shinning" remarque mon Maître. "Ou Maison Close" j'ajoute. Encore une prise de parole sans autorisation.

Il me pénètre et ma petite remarque a insinué une ambiance, une thématique... Maison close, bordel, pute.... "J'ai payé pour ton cul, j'en veux pour mon argent, montre-moi que j'ai eu raison de te choisir toi".

Ce que je m'applique à faire, l'effort n'est pas bien lourd à faire, les heures qui ont précédé ont emmené mon excitations très haut, je suis trempée et parfaitement ouverte, prête à m'enfoncer, me frotter contre mon Maître.

 

Un peu plus tard je paierai mes erreurs et mon effronterie de 40 coups de cravaches, appliqués alors que j'étais à 4 pattes sur le lit, que je compterai moi-même, avant de me rhabiller pour sortir dîner...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Maitre Gone
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