Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 14:40

 

Il y a eu, dans le désordre...

 

Bruxelles.

Bruxelles sous la pluie, en doudoune et jupe droite, talons et bas, sans culotte.

Une première soirée où nous avons dîné à une adresse que je ne peux que recommander, et que par ailleurs je cite volontiers, le nom du restaurant est assez à propos, Le Switch.

Mon décolleté était plongeant, un peu plus encore en fin de soirée à la demande de mon Maître, rien qui n'outrepasse les limites de la pudeur, mais somme toute assez évocateur.

Le chemin du retour vers l'hôtel nous fit passer par la galerie de la Reine, et quelques clichés furent pris de moi la jupe remontée, la chemise largement ouverte.

Nous prîmes ensuite un verre à une terrasse juste avant sa fermeture. J'ai ouvert les jambes, écarté les cuisses, autant que possible, ce qui a impliqué que je relève ma jupe, mon voisin de derrière en léger contrehaut a-t-il su en profiter...?

C'est ensuite au bar de l'hôtel que nous nous sommes installés, autant dire dans le hall. Nous y étions seuls à l'exception du personnel de la réception et du barman, quelques clients ont fait leur check-in mais là encore, je ne suis pas sûre qu'ils aient profité du spectacle.

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J'ai néanmoins fini les cuisses largement ouvertes, offerte à la vue de mon Maître en un lieu public, sous le regard sinon d'une personne physique, au moins d'un système de surveillance vidéo.

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Plus tard dans la chambre c'est nue et masquée que mon Maître me postera à la fenêtre, que ponctuellement il ouvrira, ce qui au premier étage d'une rue relativement passante multiplie le possible d'un regard perdu.

 

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Ce qui me reste, imprécises sensations, c'est ce plaisir dans le déplaisir de la contrainte à offrir ma chair dans ce qu'elle a d'intime et d'érotique aux regards.

La lutte du rationnel et de l'éducation contre la relativité.

Qu'est-ce que j'en ai à foutre de montrer mes seins à un inconnu, ou plutôt qu'un inconnu me surprenne les seins à l'air ? Rien.

Vais-je finir au commissariat pour avoir trop écarté les cuisses à une terrasse ? Non, assez peu probablement.

A contrario, trouvé-je excitant de pouvoir être vue par une tierce personne ou 12 dans un contexte qui n'est pas a priori propice à cette vision ? Oui.

Pour autant, il y a une réticence à obéir, enfin non, pas une réticence. Une appréhension. Alors que je sais la pertinence et le bon sens de mon Maître. Qu'il ne me demanderait pas quelque chose qui mettrait en péril ma réputation, mon honneur ma vertu ou que sais-je.

C'est là que le poids de l'éducation prend son sens.

 

 

Il y a aussi eu Marseille, quelques temps avant.

Marseille où, sensiblement dans la même tenue, nous avons entrepris une promenade sur le vieux port à minuit passé... Une longue séance d'embrassade sur le banc en pierre qui court à l'extrémité du dit vieux port... Les mains de mon Maître autant que les miennes qui s'égarent et cherchent à agacer, à exciter... Ce type d'un certain âge qui traîne, ce n'est pas bien clair, un coup il nous suit un coup il nous fuit, je porte un body en dentelle sous ma chemise, pas de soutien-gorge, mon Maître me caresse les seins, je le branle...

 

Là déjà le regret qu'il n'y ait pas de spectateur. Même si en soi, le simple fait qu'il puisse y en avoir un suffit à exciter l'imagination. Et multiplier le plaisir.

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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