Parties de chasse

Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 10:13

C'est après un peu plus de deux heures de route que mon Maître me tendit une paire de boules de geisha.

"Enfile-les".

Je les pris, et me permis de lui faire remarquer qu'eu égard à leur séjour au fond d'une poche et leur matière elles étaient couvertes de pluches.

"Tu les nettoieras à la prochaine station-service. Evidemment, tu ne les mets pas là-bas".

Evidemment.

Aussitôt dit, nous nous sommes arrêtés, et je profitai des lavabos pour me savonner les mains, au milieu de ces bonnes dames, et mon gadget par la même occasion. Ma voisine d'un instant a-t-elle suffisamment vu ces sphères mauves pour comprendre de quoi il s'agissait ? Posssible.

Nous repartons, et j'entr'ouvre la fermeture éclair de mon pantalon pour en me contorsionnant tenter d'insérer en moi les boules.

"Je veux voir, tu n'avais qu'à mettre une jupe"

Je descends mon pantalon plus bas que les genoux, il est arrêté par mes bottes, défais les pressions de mon body en dentelle sur lequel je porte une chemise noire" et offre le spectacle de mes cuisses grandes ouvertes et mon sexe parfaitement épilé à qui sera un peu plus haute que nous sur la droite, autant dire une pelletée de camions.

J'introduis la première boule, mon Maître poussera la seconde en mon intimité.

Pendant un long moment nous roulons ainsi, il caresse négligemment mon entrejambe, tire parfois sur la ficelle du gadget, amenant la 2ème boule presque hors de moi, puis hors de moi, la fait rouler contre mes lèvres.

Deuxième arrêt, mon Maître m'autorise à me rhabiller au moment où nous passons sous les caméras de surveillance de la station service de petite taille. Il se gare devant la boutique, et je vois dans les yeux du caissier qu'il a vu.

Mon Maître m'embrasse à pleine bouche et défait un bouton supplémentaire de ma chemise.

J'hésite entre une légère honte et l'envie de davantage, comme souvent.

Il me dit que je vais me changer, mais n'a pas encore décidé si je le ferai là sur le parking, ou en roulant.

C'est finalement cette option qui sera retenue, et j'enfilerai donc mes bas pendant que le bitume défilera.

Seul un routier aura visiblement profité ouvertement du spectacle, manifestant par un coup de klaxon son enthousiasme.

 

"Vous pouvez défaire votre chemise..."

L'usage du vous. Le non usage du tutoiement qui nous fait basculer en mode jeu.

"Vous pouvez... ? " Je regarde mon Maître, et même si je sais bien qu'il s'agit d'insolence, on ne se refait pas, je n'en fais rien.

Sourire de l'intéressé. "Très bien". Mais vous aurez encore plus froid tout à l'heure.

A la première aire de repos il s'engouffre sur la bretelle d'accès et s'arrête.

"Maintenant tu sors de la voiture, et tu enlèves ta chemise".

Dont acte.

L'endroit est quasi désert, un type sort des toilettes quelques secondes trop tard pour avoir profité du spectacle de la dentelle noire qui s'ouvre en V  jusqu'au nombril, de mes seins exempts de soutien-gorge parfaitement visibles, de mon dos complètement nu.

J'ai ainsi parcouru quelques centaines de kilomètres sinon nue, complètement offerte aux regards.

Nous roulons ainsi jusqu'à notre destination.

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : L'art de s'offrir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 15:13

Depuis ces quelques jours de par la France le temps a filé, et n'a pas été bénéfique à l'écriture. A la mémoire encore moins, restent néanmoins des scènes mémorables.

 

Le premier soir devant la Méditerranée, baillonnée et masquée, les mains menotées dans le dos, à genoux sur le lit de l'hôtel, devant la baie vitrée qui s'ouvrait sur le vieux port.

La sensation d'être offerte au potentiel regard des passants.

Le flot de salive difficile à avaler du fait de la boule en plastique qui me fait me résigner à baver telle un chien. Une chienne.

Mon Maître qui sort, et entre dans la chambre sans un mot, laissant planer le doute sur l'identité de la personne qui revient, me pousse à l'horizontale sur le lit et me prend finalement.

 

Il y a eu cette 2eme soirée, largement arrosée de champagne, au terme de laquelle mon Maître m'a demandé, encore vêtue de mes bas et de mon porte-jaretelles d'aller dans la douche. Les menottes me maintenaient à la barre de douche lorsqu'il m'a demandé de soulager ma vessie sous son regard. Quelques instants plus tard j'étais à genoux lorsque lui-même m'a généreusement aspergé de son urine. Et c'est lorsque je fus à 4 pattes, quelques minutes plus tard qu'il m'a littéralement pissé dessus.

Nous en avons parlé ensuite, la nuance est bien là entre ces 2 épanchements... La première fois, qui était vraiment la première fois, c'était un essai, pour le plaisir (évidemment) serais-je tentée de dire, et sans arrière-pensée réelle, autre que l'envie d'essayer qui aurait aussi bien pu avoir lieu au cours d'une soirée lambda. La seconde, lorsque je fus à 4 pattes dans la douche, relevait d'une vraie démarche de domination, et donc de soumisssion, de par la position essentiellement (comme quoi, ça tient à peu de chose), et probablement les mots à ce moment là employés.

 

Il y a eu ce dîner dans le restaurant d'un château, extrèmement court vêtue mais qui manquait malheureusement de spectateurs. Ces kilomètres d'autoroute avalés quasi nue après m'être changée sur une aire d'autoroute.

 

Il y a eu cette petite séance à des fins essentiellement photographiques où j'enfilais ma tenue de soubrette avant de me voir attachée au radiateur, encore une fois baillonnée et équipée de pinces.

 

BAL6951  BAL7008

 

Je promets de rendre-compte de notre prochaine partie de chasse dans les meilleurs délais apès sa réalisation, pour pouvoir en écrire les sensation précisément...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Le sexe sans tabous
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 10 février 4 10 /02 /Fév 23:27

Nous voilà à la tête de 4 jours seuls ensemble.

Je ne savais pas bien dans quel sens entamer cet article. Disons que je laisserai de côté ce qui nous concerne personnellement, ce que nous ne désirons pas, en tout état de cause ce que je ne désire pas partager, logistique, destination, réminiscences d'une époque, pour ne parler que de ce qui touche directement à ce blog.

 

Nous partons donc pour 4 jours à travers la France. Pas loin de 2000 km qui nous emmènerons d'ouest en sud. Il y a un certain temps que nous n'avons pas parcouru ensemble une telle distance.

Ai-je des souvenirs érotiques d'asphalte ? Quelques-uns. Je mentionnai dans un post précédent avoir fini les seins à l'air sur la route, assise au fond de mon siège de gros break-avion de chasse allemand alors que nous revenions d'un dîner.

Je me souviens également avoir branlé mon Maître sur la route.

Ai-je eu, avons-nous eu des fantasmes à haute voix d'exhibition routière ? Certes oui.

 

J'ai tout à l'heure fait mon sac sous la présidence de mon Maître. Enfilé une paire de bas puis passé quelques jupes afin qu'il fasse son choix. Revêtu quelques hauts dont il a décidé qu'ils feraient partie ou pas du fonds vestimentaire de ce week-end de bord de mer. Et présenté différentes pièces de lingerie. Ont trouvé grâce body, guépière, porte-jaretelles, redresse-seins, bas et string fendu.

Son leitmotiv est simple "tous tes orifices doivent être en permanence accessible à mon bon plaisir"

A suivi le choix de ma tenue de voyage. Mon Maître a eu la mansuétude de m'accorder pour la première partie du voyage, celle qui précèdera notre escale technique, le port d'un jean en lieu et place des jupe-bas initialement prévus.

Je ne porterai en haut qu'un body en résille, recouvert d'un gilet certes, mais qui ne laisse en aucun cas place à l'imagination, seulement à la constatation.

 

Le fait de le laisser choisir en mes lieux et place le contenu de mon sac n'a pas eu d'effet particulièrement perturbant. C'est mon dressing, ce sont mes affaires, elles me plaisent, cette jupe plutôt que l'autre, et pourquoi pas. Le troublant pourrait bien arriver si, lorsque, mon Maître venait à choisir quelle tenue à tel moment.

Sans aller jusqu'à la défiance disons que j'émets une légère réserve.

 

A suivi cet épisode "fifille dans le placard" un épisode "fifille se fait claquer les fesses".

"Pour le plaisir". Telle en était la motivation. Je l'écris le sourire au lèvre. Le rapport de force, qui n'a rien à voir avec la force soit dit en passant, s'étend. Bien évidemment mon Maître est "le fort" et à défaut d'être la faible j'endure une certaine souffrance. Ce qui, indiscutablement est une force... L'alternance de la main et de la cravache qui s'abattent sur mes fesses, le haut et l'intérieur de mes cuisses sont autant de morsures, d'aiguilles qui rosissent la peau. Dont je n'aurais probablement pas supporté le nombre dans une vie antérieure.

J'aurais à mi-chemin montré les crocs. J'ai pris plaisir à ne pas le faire. La fièrté certes, le plaisir de faire plaisir. Mon Maître ne l'aurait pas fait non plus dans les mêmes proportions dans une vie antérieure (il faut savoir raison garder le coup de croc est vite arrivé...).

Où j'en reviens à l'égoïsme de la position de soumise telle que je l'envisage. Mon plaisir passe par son plaisir. Et inversement.

 

J'en reviens au roadtrip qui nous attend. Quel est le mot pour "redouter avec plaisir et impatience" ?

 

 

 

 

 

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : soumission et apprentissage
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 7 février 1 07 /02 /Fév 13:38

A 4 pattes, vêtue de bas, body et bottes, les yeux bandés, et sous la surveillance d'un caméscope, ce que je ne sus qu'après.

 

Voilà le décor de notre première partie de chasse.

 

b

 

Aux premières images je suis à 4 pattes sur la table basse, vêtue d'un body en dentelle grandement décolleté en v, d'une jupe, de bas et d'une paire de bottes.
L'image est en noir et blanc, je suis de 3/4, mes yeux sont bandés.
Devant moi le feu de cheminée, qui plus tard sera le révélateur que mon Maître passe devant moi, sa présence m'isolant de la chaleur un instant.
Un fond sonore.

Plan suivant, mon Maître relève ma jupe, laissant apparaître mes fesses entre lesquelles disparaît le body, dépose 2 glaçons en verre le long de ma colonne vertébrale avant de m'écarter un peu les cuisses.

A cet instant si je suis dans l'expectative, le contact visuel me manque déjà, non par crainte ou anxiété quant à ce qui va suivre, mais voir m'est excitant.

"La règle est simple, les glaçons ne doivent pas tomber, sinon...." mon Maître défait alors les pressions de mon body, s'éloigne puis repasse derrière moi en me caressant négligemment, comme il caresserait le chien sur son chemin ou effleurerait des doigts un meuble.

Je suis sa chienne, son objet. C'est un plaisir. Rétrospectivement, le sourire sur ses lèvres et la lueur dans ses yeux indiquent que c'est grandement partagé.

Mon Maître sort ensuite mes seins de leur dentelle, les contraignant sur les côtés de par la dite dentelle, il en profite pour en agacer légèrement les pointes, les faisant durcir, et continue à rôder, glissant parfois la main entre mes cuisses. Il s'y attarde, provoquant chez moi une cambrure plus prononcée.
Il fait ensuite couler du lubrifiant entre mes fesses.

Je sais alors que c'est à mon cul qu'il s'intéresse, ma chatte est déjà largement lubrifiée.

Du bout de la cravache il joue avec mes tétons, toujours érigés, et mes seins, mamelles qui pendent offertes. Je vois sur la vidéo mon souffle qui s'accélère légèrement, et devient plus profond.
Quelques instants passent avant que mon Maître revienne, et fasse glisser d'abord une froide petite cuillère puis un pinceau en silicone de mes lèvres à mon anus via ma vulve. Ce sont ensuite mes tétons qui sont sollicités.

Je ne sais pas alors avec quoi mon Maître joue. Je cherche, peu finalement, toute aux sensations et à l'immobilité pour maintenir les glaçons dont j'ai oublié où ils étaient précisément. D'ailleurs mon Maître les déplace, les posant sur mes épaules.

"Tu as une couleur préférée ?"
Sa main revient entre mes fesses, son doigt s'attarde sur mon petit trou.
Mon Maître est devant moi, je ne sens plus la chaleur du feu de cheminée. Accroupi, son front se pose contre le mien et il attrape le bout de mes seins. Les pince, les malaxe. Mon dos se cambre encore davantage, il les tire vers le bas avec un plaisir non dissimulé.
Les glaçons sont maintenant posés sur le haut de mes fesses et il agace mon clito, mes lèvres, de la main avant de se saisir à nouveau du pinceau.
De la cravache il me soulève le menton, me faisant encore creuser les reins. Sa main droite tire mon sein droit, sa main gauche posée sur mon cul me pousse vers l'avant sous le poids du désir, un de ses doigts s'y enfoncel tandis que par la pointe des seins il me fait descendre.

"C'est très bien, les glaçons ne tombent pas" me dit mon Maître.

J'aime le satisfaire ainsi, en m'offrant physiquement et en répondant à son attente. Il allume une cigarette qu'il propose à ma bouche. J'aspire avec plaisir la fumée, et remercie. Pas suffisamment. Pas assez fort. Un premier coup de cravache tombe sur mes fesses.
Soudain une morsure sur mon téton gauche. Une pince. Puis la deuxième à droite. J'ignore à ce moment de quelles pinces il s'agit. Mon Maître agit dans la plus grande discrétion, je ne sais pas que ce sont celles reliées par une chaîne.

Je me vois maintenant, les mamelles ballotant, les tétons étirés par le poids, reliés par cette chaîne. La sensation n'est pas loin d'humiliante mais néanmoins excitante, je suis sa femelle.

Le lubrifiant coule à nouveau entre mes fesses.
Mon Maître en enduit également un plug et repositionne les glaçons sur ma colonne. Ses doigts s'enfoncent dans mon cul que je tends vers lui.
Le caméscope a changé de place.
On voit maintenant mon cul au premier plan, mon sein gauche pincé.
Le majeur de mon Maître s'enfoncer en moi.
La cravache faire s'ouvrir mes cuisses.
J'ondule sous sa pénétration.
Au moment ou mon Maître fait pénétrer le plug dans mon cul un glaçon tombe.
La cravache s'abat sur mes fesses.

 

a

 

Quelques coups qui me rappellent à mon manquement.
Je manque encore d'abnégation, j'aurais dû remercier mon Maître.

Lequel joue avec le plug avant de m'asséner une claque sur les fesses. Il se positionne ensuite à côté de moi et m'offre sa queue à sucer quelques instants. Là encore, j'aurais dû l'en remercier.
Je me souviens avec excitation de ma langue avide de son goût, de son gland.
Il vient ensuite pénétrer ma bouche de sa langue, tout en me faisant ployer par la chainette qui lie mes seins.
Fait sortir, entrer, sortir, entrer... le plug avant de m'appliquer sur la chatte un vibro.
Je voudrais le supplier de me prendre. Je garde le silence. Ce n'est pas mon tour de parler et c'est un jeu sans paroles ce soir.

Aussi grande soit l'excitation, cette absence de visuel et de mots me frustre.

Sur la vidéo je vois ma vulve offerte, mes lèvres écartées par le vibro. J'aime à lui être une image pornographique.
J'entends mon Maître. J'ignore ce qu'il fait jusqu'à ce que je sente la cire chaude couler sur mon dos tandis qu'il me flatte l'arrière-train. Je tressaute à peine.
Ses lèvres se posent ensuite sur moi, mon dos, mon cul. Il m'enlève les pinces aux seins et me titille à nouveau du bout de la cravache.
Malaxe mon cul et enlève le plug.
Mon Maître présente à nouveau sa queue à ma bouche. Je pressens qu'il va me prendre et le suce avec d'autant plus d'ardeur.
L'instant d'après son sexe s'enfonce dans mon anus. J'halète et gémis. La cravache tombe parfois sur mes fesses. Je geins et mes gros seins impriment le rythme.

Mon Maître va se vider dans mon cul. Je sentirai son sperme couler.
Plus tard il me prendra dans notre lit.
Me rappellera que je suis son vide-couilles, son sac à foutre en se libérant dans ma chatte.

J'aime ça.

Par devenirsa.erog.fr - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Maitre Gone
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 7 février 1 07 /02 /Fév 13:35

Quelques jours après notre première partie de chasse, je reçus quelques heures avant que nous reçevions un ami à dîner ce mail:

 

"Chère toi,

Ce soir, à l'arrivée de notre invité, tu porteras un robe noire, longue, avec bas, porte jarretelle, string voyant (ne me déçois pas), haut noir, décolleté, avec un redresse mamelles (tu me soumettras cette tenue avant son arrivée).
Ton maquillage sera léger, naturel (ajoute une touche de couleur à tes lèvres d'apprentie suceuse).
Tu porteras tes lunettes.
Je veux te voir offerte lorsque je te l'ordonnerais (tu mettras en évidence alors tes dessous).

Quelque soit mon ordre, aucune question; chaque hésitation sera punie.

Tu vas commencer à apprendre la bonne manière de me servir à cette occasion, et te soumettre comme la bonne petite salope que je veux faire de toi.
Apprendre à toujours être attentive au moindre de mes désirs, surveiller mon bon vouloir et te dévouer à mon bon plaisir sera ton exercice; nous aviserons des corrections à y apporter au terme de cette soirée.

Surveille ton attitude, que tu auras sensuelle, et soumise (même si la portée de ce mot dépasse encore ta compréhension).

Ton hôte."

 

Partie 1

Je portais finalement, la robe dont je disposais étant trop longue et n'offrant que peu de facilités, une jupe noire, jeu de transparence et de longueurs, un chemisier/blouse rouge,  un redresse-mamelles noir également, un porte-jaretelles rouge, des bas noirs et un string, rouge également.

 

1

Pierre, appelons-le ainsi, arriva vers 20h.
Mon Maître avait préalablement inspecté ma tenue. Moment troublant parmi tant d'autres. Le voir décider de ce que je porte, décider du niveau de provocation de la tenue. Etre inspectée, comme une bête de foire. Palpée, jaugée, complimentée.

Pierre, qui a sensiblement nos âges est un drôle de type, très bon dans son boulot auquel il consacre un temps fou. Un ami charmant, parfaitement bien élevé, divorcé depuis l'année dernière, à la vie sentimentale et sexuelle à peu près aussi plate qu'une émission de Benjamin Castaldi, de ce qu'il nous
en raconte et que nous croyons volontiers. Ce qui expliquerait en partie les centaines d'images et vidéos pornographiques retrouvées sur un disque dur qu'il nous avait confié.

Conformément au souhait de mon Maître je me suis assise sur le canapé en face de Pierre. Mon Maître était à mes côtés. J'ai fait le service, apéritif, me suis levée, assise, ai croisé les jambes fort haut, remonté distraitement ma jupe, je sentais la chaleur de la cheminée sur ma peau à peine dénudée, Pierre ne pouvait pas ne pas voir.
Mon Maître se levait parfois, me faisant face dans le dos de Pierre, m'intimant l'ordre de croiser ou décroiser les jambes. De les ouvrir un peu plus. Ce fut un plaisir servile que de lui obéir. D'écarter les cuisses un peu plus encore. de me faire reprendre dans l'intimité de l'entrée parce que mes seins ne pointaient pas assez à travers l'étoffe pourtant très légère de mon vêtement. De devoir enlever mon string. De défaire, sur un simple geste de sa part le dernier bouton de ma blouse. Je me penchais, m'asseyais en relevant ma jupe plus haut que la lisière de mes bas, laissant voir les jarretelles rouges.

Je me retenais d'aller aux toilettes, n'allumais pas spontanément de cigarette.
Nous avions eu la conversation avant l'arrivée de notre hôte, aucune initiative je ne devais prendre, sinon celle de servir ces messieurs durant la soirée.
Aussi je demandais à mon Maître "Pourriez-vous m'offrir une cigarette s'il vous plaît", au prétexte de ne pas avoir à me pencher (dans la mesure où nous entretenons une relation amicale/sociale avec Pierre, pas question de formuler quelque chose qui ressemblerait à "m'autorisez-vous Maître à fumer une cigarette"), et me retenais-je d'aller faire pipi, ayant encore en mémoire mon échec à uriner devant mon Maître quelques jours plus tôt, faute d'être allée me soulager peu de temps avant.

Chemin faisant la soirée s'étira, à sa toute fin j'étais assise contre mon Maître, celui-ci me caressait un sein, lequel s'était peu de temps avant trouvé parfaitement dénudé.

 

3-copie-1.jpg

Pierre resta stoïque, me regardant dans les yeux strictement.

Mon Maître une fois qu'il fut parti me félicita néanmoins d'avoir bien obéi.

Partie 2

Nous avons continué à discuter, nous faisant face, lui à la place qu'occupait précédemment notre ami, moi toujours sur le canapé, reproduisant à sa demande les jeux de jambes auxquels je m'étais livré. Il fut convenu que Pierre n'était pas un client facile, et que pour préserver notre lien avec lui il avait été judicieux de ne pas pousser le jeu plus loin, et en faire notre victime.

Mon Maître me demanda d'enlever ma blouse, et d'écarter largement les cuisses, offrant ainsi mon intimité à sa vue.
Nous parlâmes un certain temps d'obéissance, d'exhibition, de choses et d'autres, avant qu'il ne me fasse enlever ma jupe et m'autorise à aller remplir le lave-vaisselle. J'avais pris soin de ne rien mettre dedans,
contrairement à mes habitudes (aussitôt débarrassé, aussitôt à laver), afin de pouvoir le faire sous le regard de mon Maître dans la tenue qu'il jugerait adéquate. Je lui suggérais la possibilité d'enfiler ma tenue de soubrette, il déclina, me disant que ce serait l'objet d'une séance spéciale, que depuis j'attends avec une certaine impatience.
Je remplis donc le lave-vaisselle en bas et porte-jaretelles.

J'ai, de l'importance d'écrire régulièrement, perdu le fil exact du déroulé de notre soirée.
Mon Maître saurait peut-être le retrouver et j'aimerais savoir qu'il pourrait me le remettre en mémoire, mais je me souviens néanmoins....

M'être faite rabrouer pour ne pas le sucer comme il le demandait. Comme il le demandait et non pas comme je le fais avec je crois un certain talent depuis plusieurs années. Je l'ai donc longuement sucé, à genoux devant le canapé.
Appliquée à tenter de le satisfaire.

Enfonçant sa queue jusqu'à la garde au fond de ma gorge, plutôt que jouant avec ma langue autour de son gland.
Et puis j'ai eu envie de pisser et j'ai demandé l'autorisation d'aller satisfaire ce besoin.
Après une brève réflexion mon Maître m'a dit d'aller chercher une bassine.
Revenue avec il m'a intimé l'ordre de me mettre accroupie au dessus du réceptacle. De reprendre ma fellation. Et d'uriner quand je voudrais. Dont acte.

Le bruit du liquide qui s'écoule, l'odeur qui en émane, l'indécence de la situation, l'abandon total d'amour-propre, la satisfaction dans son regard...
Ses doigts se sont glissés sur ma chatte béante, trempée d'excitation et d'urine, y ont glissé avant de plonger dans ma bouche.


"Tu es ma chienne, ma jolie petite chienne, qui pisse à mes pieds..."

Oui, et j'aime ça Maître.

Par devenirsa.erog.fr - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Catégories

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus