Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 11:47

Nous arrivons dans un très joli restaurant, immeuble et ambiance art déco, personnel exclusivement masculin entre 40 et 50 ans, discret, efficace et courtois, ayant néanmoins remarqué au premier passage à proximité de notre table que mes jambes croisées sont gainées de bas.

La table derrière nous est à distance raisonnable mais s'exprime sur un ton de bibliothèque, d'autres, éparpillés dans la salle discutent à bâtons rompus, et nous nous lançons sur le mode du vouvoiement dans de longues conversations tant sur le bdsm que sur la qualité des mets et du vin (un Pic St Loup 2003 délectable).

Le vouvoiement à ceci d'amusant qu'il intrigue notoirement les gens qui entendent des bribes de notre conversation. Nous avons visiblement une intimité, nous sommes clairement un couple (marié qui plus est, mais nos alliances somme toute pourraient être les témoins d'une autre union), et nous nous vouvoyons. Systématiquement l'oreille de nos voisins semble traîner vers nous.

J'aperçois l'homme et je le vois légèrement rougir. Sa compagne me tourne le dos, mais par un jeu de miroirs, je sais qu'elle m'aperçoit.

Plus tard dans la soirée mon mari, nous ne sommes pas en contexte jeu, déboutonnera un bouton supplémentaire de ma chemise, offrant au voisin un décolleté explicite.

Quelques minutes ensuite, s'interrogeant sur ce qu'il en serait si j'en défaisais encore un je défais. Je ne porte rien qu'un redresse-seins en dessous, le spectacle est à la limite de la décence, essentiellement vu du dessus, ce qui est mon point de vue.

Un bouton remis, nous gagnons le casino local à pied pour y boire une coupe. La faune est sans intérêt, l'endroit également, chose faite nous regagnons l'hôtel, je m'arrêterai juste un instant au pied d'un escalier pour rattacher une jaretelle récalcitrante.

A l'hôtel le barman nous sert une première coupe de champagne que nous prenons dans le salon, nous discutons de tout et rien, avant de monter avec une seconde coupe dans notre chambre.

 

Comment ai-je fini pénétrée et par un vibro réaliste et par mon mari ? Comment me suis je retrouvée à cheval sur le bidet à pisser en branlant mon Maître ? Quels furent les chemins empruntés, je ne me souviens plus vraiment... Je me revois juste fumant une cigarette à la fenêtre, son sperme coulant le long de mes cuisses...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : FANTASMES DE COUPLE
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 10:46

Nous arrivons dans cet antre au classique surrané, accueillis par une réceptionniste vaguement gauche qui nous précède dans l'escalier et nous installons dans notre vaste chambre aux deux lits, et aux fenêtres donnant sur des jardins.

"Déshabille-toi"

J'enlève ma jupe et ma chemise, restant en bas et bottes.

"A la fenêtre"

Ma pudeur à beau ne pas risquer grand chose (malheureusement... ?), la sensation est troublante. Je suis l'objet de mon Maître.

C'est une fenêtre ancienne, aux montants froids, à la poignée basse et ronde.

"Tourne-toi"

"Branle-toi sur la poignée".

Je m'exécute, animal cherchant son plaisir sur un objet inanimé et nullement à cette fin destiné.

Mon Maître s'assied sur un des lits.

"Viens me sucer".

J'entame une fellation, que je pense à la fois appliquée et gourmande "Mieux que ça, et regarde-moi". Je le suce et avale son sexe jusqu'au haut le coeur. Il m'encourage, positivement  "C'est mieux", ou par une légère moquerie "Je suis sûr que tu peux faire mieux que ça, une bonne chienne comme toi"

."A genoux"

J'y resterai un long moment, dans un coin de la chambre, dos à une des fenêtres.

 

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Et y enchaînerai les erreurs. Prises de parole non autorisée, oubli (de mon enthousiasme à m'exprimer, j'en oublie malgré ma position mon rang) de finir mes phrases par "Maître", changement (subtil mais néanmoins changement) de position...

 

"Allonge-toi sur le lit sur le dos".

Je prends place tandis qu'une musique s'élève du rez-de-chaussée. "Très Shinning" remarque mon Maître. "Ou Maison Close" j'ajoute. Encore une prise de parole sans autorisation.

Il me pénètre et ma petite remarque a insinué une ambiance, une thématique... Maison close, bordel, pute.... "J'ai payé pour ton cul, j'en veux pour mon argent, montre-moi que j'ai eu raison de te choisir toi".

Ce que je m'applique à faire, l'effort n'est pas bien lourd à faire, les heures qui ont précédé ont emmené mon excitations très haut, je suis trempée et parfaitement ouverte, prête à m'enfoncer, me frotter contre mon Maître.

 

Un peu plus tard je paierai mes erreurs et mon effronterie de 40 coups de cravaches, appliqués alors que j'étais à 4 pattes sur le lit, que je compterai moi-même, avant de me rhabiller pour sortir dîner...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Maitre Gone
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Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 10:13

C'est après un peu plus de deux heures de route que mon Maître me tendit une paire de boules de geisha.

"Enfile-les".

Je les pris, et me permis de lui faire remarquer qu'eu égard à leur séjour au fond d'une poche et leur matière elles étaient couvertes de pluches.

"Tu les nettoieras à la prochaine station-service. Evidemment, tu ne les mets pas là-bas".

Evidemment.

Aussitôt dit, nous nous sommes arrêtés, et je profitai des lavabos pour me savonner les mains, au milieu de ces bonnes dames, et mon gadget par la même occasion. Ma voisine d'un instant a-t-elle suffisamment vu ces sphères mauves pour comprendre de quoi il s'agissait ? Posssible.

Nous repartons, et j'entr'ouvre la fermeture éclair de mon pantalon pour en me contorsionnant tenter d'insérer en moi les boules.

"Je veux voir, tu n'avais qu'à mettre une jupe"

Je descends mon pantalon plus bas que les genoux, il est arrêté par mes bottes, défais les pressions de mon body en dentelle sur lequel je porte une chemise noire" et offre le spectacle de mes cuisses grandes ouvertes et mon sexe parfaitement épilé à qui sera un peu plus haute que nous sur la droite, autant dire une pelletée de camions.

J'introduis la première boule, mon Maître poussera la seconde en mon intimité.

Pendant un long moment nous roulons ainsi, il caresse négligemment mon entrejambe, tire parfois sur la ficelle du gadget, amenant la 2ème boule presque hors de moi, puis hors de moi, la fait rouler contre mes lèvres.

Deuxième arrêt, mon Maître m'autorise à me rhabiller au moment où nous passons sous les caméras de surveillance de la station service de petite taille. Il se gare devant la boutique, et je vois dans les yeux du caissier qu'il a vu.

Mon Maître m'embrasse à pleine bouche et défait un bouton supplémentaire de ma chemise.

J'hésite entre une légère honte et l'envie de davantage, comme souvent.

Il me dit que je vais me changer, mais n'a pas encore décidé si je le ferai là sur le parking, ou en roulant.

C'est finalement cette option qui sera retenue, et j'enfilerai donc mes bas pendant que le bitume défilera.

Seul un routier aura visiblement profité ouvertement du spectacle, manifestant par un coup de klaxon son enthousiasme.

 

"Vous pouvez défaire votre chemise..."

L'usage du vous. Le non usage du tutoiement qui nous fait basculer en mode jeu.

"Vous pouvez... ? " Je regarde mon Maître, et même si je sais bien qu'il s'agit d'insolence, on ne se refait pas, je n'en fais rien.

Sourire de l'intéressé. "Très bien". Mais vous aurez encore plus froid tout à l'heure.

A la première aire de repos il s'engouffre sur la bretelle d'accès et s'arrête.

"Maintenant tu sors de la voiture, et tu enlèves ta chemise".

Dont acte.

L'endroit est quasi désert, un type sort des toilettes quelques secondes trop tard pour avoir profité du spectacle de la dentelle noire qui s'ouvre en V  jusqu'au nombril, de mes seins exempts de soutien-gorge parfaitement visibles, de mon dos complètement nu.

J'ai ainsi parcouru quelques centaines de kilomètres sinon nue, complètement offerte aux regards.

Nous roulons ainsi jusqu'à notre destination.

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : L'art de s'offrir
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Lundi 28 février 1 28 /02 /Fév 15:13

Depuis ces quelques jours de par la France le temps a filé, et n'a pas été bénéfique à l'écriture. A la mémoire encore moins, restent néanmoins des scènes mémorables.

 

Le premier soir devant la Méditerranée, baillonnée et masquée, les mains menotées dans le dos, à genoux sur le lit de l'hôtel, devant la baie vitrée qui s'ouvrait sur le vieux port.

La sensation d'être offerte au potentiel regard des passants.

Le flot de salive difficile à avaler du fait de la boule en plastique qui me fait me résigner à baver telle un chien. Une chienne.

Mon Maître qui sort, et entre dans la chambre sans un mot, laissant planer le doute sur l'identité de la personne qui revient, me pousse à l'horizontale sur le lit et me prend finalement.

 

Il y a eu cette 2eme soirée, largement arrosée de champagne, au terme de laquelle mon Maître m'a demandé, encore vêtue de mes bas et de mon porte-jaretelles d'aller dans la douche. Les menottes me maintenaient à la barre de douche lorsqu'il m'a demandé de soulager ma vessie sous son regard. Quelques instants plus tard j'étais à genoux lorsque lui-même m'a généreusement aspergé de son urine. Et c'est lorsque je fus à 4 pattes, quelques minutes plus tard qu'il m'a littéralement pissé dessus.

Nous en avons parlé ensuite, la nuance est bien là entre ces 2 épanchements... La première fois, qui était vraiment la première fois, c'était un essai, pour le plaisir (évidemment) serais-je tentée de dire, et sans arrière-pensée réelle, autre que l'envie d'essayer qui aurait aussi bien pu avoir lieu au cours d'une soirée lambda. La seconde, lorsque je fus à 4 pattes dans la douche, relevait d'une vraie démarche de domination, et donc de soumisssion, de par la position essentiellement (comme quoi, ça tient à peu de chose), et probablement les mots à ce moment là employés.

 

Il y a eu ce dîner dans le restaurant d'un château, extrèmement court vêtue mais qui manquait malheureusement de spectateurs. Ces kilomètres d'autoroute avalés quasi nue après m'être changée sur une aire d'autoroute.

 

Il y a eu cette petite séance à des fins essentiellement photographiques où j'enfilais ma tenue de soubrette avant de me voir attachée au radiateur, encore une fois baillonnée et équipée de pinces.

 

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Je promets de rendre-compte de notre prochaine partie de chasse dans les meilleurs délais apès sa réalisation, pour pouvoir en écrire les sensation précisément...

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : Le sexe sans tabous
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Jeudi 10 février 4 10 /02 /Fév 23:27

Nous voilà à la tête de 4 jours seuls ensemble.

Je ne savais pas bien dans quel sens entamer cet article. Disons que je laisserai de côté ce qui nous concerne personnellement, ce que nous ne désirons pas, en tout état de cause ce que je ne désire pas partager, logistique, destination, réminiscences d'une époque, pour ne parler que de ce qui touche directement à ce blog.

 

Nous partons donc pour 4 jours à travers la France. Pas loin de 2000 km qui nous emmènerons d'ouest en sud. Il y a un certain temps que nous n'avons pas parcouru ensemble une telle distance.

Ai-je des souvenirs érotiques d'asphalte ? Quelques-uns. Je mentionnai dans un post précédent avoir fini les seins à l'air sur la route, assise au fond de mon siège de gros break-avion de chasse allemand alors que nous revenions d'un dîner.

Je me souviens également avoir branlé mon Maître sur la route.

Ai-je eu, avons-nous eu des fantasmes à haute voix d'exhibition routière ? Certes oui.

 

J'ai tout à l'heure fait mon sac sous la présidence de mon Maître. Enfilé une paire de bas puis passé quelques jupes afin qu'il fasse son choix. Revêtu quelques hauts dont il a décidé qu'ils feraient partie ou pas du fonds vestimentaire de ce week-end de bord de mer. Et présenté différentes pièces de lingerie. Ont trouvé grâce body, guépière, porte-jaretelles, redresse-seins, bas et string fendu.

Son leitmotiv est simple "tous tes orifices doivent être en permanence accessible à mon bon plaisir"

A suivi le choix de ma tenue de voyage. Mon Maître a eu la mansuétude de m'accorder pour la première partie du voyage, celle qui précèdera notre escale technique, le port d'un jean en lieu et place des jupe-bas initialement prévus.

Je ne porterai en haut qu'un body en résille, recouvert d'un gilet certes, mais qui ne laisse en aucun cas place à l'imagination, seulement à la constatation.

 

Le fait de le laisser choisir en mes lieux et place le contenu de mon sac n'a pas eu d'effet particulièrement perturbant. C'est mon dressing, ce sont mes affaires, elles me plaisent, cette jupe plutôt que l'autre, et pourquoi pas. Le troublant pourrait bien arriver si, lorsque, mon Maître venait à choisir quelle tenue à tel moment.

Sans aller jusqu'à la défiance disons que j'émets une légère réserve.

 

A suivi cet épisode "fifille dans le placard" un épisode "fifille se fait claquer les fesses".

"Pour le plaisir". Telle en était la motivation. Je l'écris le sourire au lèvre. Le rapport de force, qui n'a rien à voir avec la force soit dit en passant, s'étend. Bien évidemment mon Maître est "le fort" et à défaut d'être la faible j'endure une certaine souffrance. Ce qui, indiscutablement est une force... L'alternance de la main et de la cravache qui s'abattent sur mes fesses, le haut et l'intérieur de mes cuisses sont autant de morsures, d'aiguilles qui rosissent la peau. Dont je n'aurais probablement pas supporté le nombre dans une vie antérieure.

J'aurais à mi-chemin montré les crocs. J'ai pris plaisir à ne pas le faire. La fièrté certes, le plaisir de faire plaisir. Mon Maître ne l'aurait pas fait non plus dans les mêmes proportions dans une vie antérieure (il faut savoir raison garder le coup de croc est vite arrivé...).

Où j'en reviens à l'égoïsme de la position de soumise telle que je l'envisage. Mon plaisir passe par son plaisir. Et inversement.

 

J'en reviens au roadtrip qui nous attend. Quel est le mot pour "redouter avec plaisir et impatience" ?

 

 

 

 

 

Par devenirsa - Publié dans : Parties de chasse - Communauté : soumission et apprentissage
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